Aggreko - BTP en France: la réduction du bruit premier facteur d'adoption de technologies plus vertes, devant les émissions
SSelon une nouvelle étude portant sur le secteur du BTP, la réduction du bruit est le premier motif d'adoption de technologies plus écologiques en France, devant les émissions de carbone et celles locales.
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Près de quatre chefs de chantier français sur dix (39 %) citent la réduction du bruit en premier, devant les émissions de carbone et celles locales, notamment de particules et de NOx (32 %). En revanche, sur la moyenne des 11 pays européens étudiés*, seulement 28 % déclarent que la réduction du bruit constitue le principal motif d'adoption de technologies renouvelables, tandis que 32 % citent la diminution des émissions de carbone en premier.
Cette étude commandée par le fournisseur de solutions énergétiques Aggreko a été réalisée auprès de 853 chefs de chantier en Europe, dont 100 en France. L'enquête a servi de base au dernier rapport sectoriel de l'entreprise intitulé « A Perfect Storm for European Construction? The challenges shaping the sector's future and how to combat them. »
Ce document a été rédigé pour aider les professionnels du bâtiment en Europe à répondre aux problématiques de décarbonation dans le cadre de la transition du secteur vers le net zéro, notamment aux contraintes énergétiques qui touchent les projets réalisés sur le continent. Les pistes évoquées incluent l'utilisation de technologies plus vertes comme les solutions de stockage d'énergie en batterie (BESS), les groupes électrogènes Stage V et les carburants alternatifs tels que l'huile végétale hydrotraitée (HVO).
Si la demande de technologies plus écologiques pour réduire le bruit et les émissions sur les chantiers de construction existe, des obstacles à leur adoption subsistent selon les chefs de chantier français. Ainsi, près de la moitié d'entre eux (48 %) citent la méconnaissance des modalités de déploiement de ces technologies, un chiffre bien supérieur à la moyenne européenne (35 %). Si le coût n'est pas perçu comme le principal obstacle comparé au reste de l'Europe (31 % en France, contre 39 % en moyenne), la disponibilité des produits plus écologiques arrive en deuxième position des obstacles à l'adoption.
Alors que le secteur du BTP en France continue de se rapprocher des objectifs net zéro, le nouveau rapport d'Aggreko vise aussi à aider les entreprises à surmonter leurs difficultés en matière de compétences et de produits.
Franck Pecoil, directeur commercial sectoriel chez Aggreko en France, explique : « Si l'intérêt pour les technologies plus vertes est bien réel, le secteur du bâtiment français éprouve toujours des difficultés à les adopter. Comme dans beaucoup d'autres pays européens, le manque de produits disponibles et de compétences pour déployer ces technologies freine la progression vers l'objectif net zéro.
Notre nouveau rapport a pour objectif d'aider les entreprises du secteur du bâtiment en France à trouver le bon compromis entre réussite commerciale, impératifs énergétiques et développement durable. Face à l'importance croissante des partenariats visant à instaurer une chaîne d'approvisionnement durable dans le cadre de la transition énergétique, nous présentons les solutions à la disposition du BTP dès aujourd'hui et celles qui le deviendront à l'avenir. En s'associant à des partenaires stratégiques comme Aggreko, les entreprises françaises peuvent accéder à des technologies plus vertes et aux compétences nécessaires pour les mettre en œuvre correctement, tout en maîtrisant leurs coûts et en trouvant le juste équilibre entre rentabilité et développement durable. »
Pour plus d'informations sur le nouveau rapport d'Aggreko intitulé « A Perfect Storm for European Construction? The challenges shaping the sector's future and how to combat them », cliquez ici.
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